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La Commission de l'économie et des redevances du Conseil des Etats (CER-CE) propose, par 7 voix contre 3 et une abstention, à son Conseil d'accepter le projet du Conseil fédéral pour l'amélioration du statut des partenaires travaillant sur les exploitations agricoles en cas de divorce. La commission a émis le souhait que la mise en œuvre soit la plus simple possible s'agissant de la charge administrative.

Landwirtschaftsgesetz (Entschädigung im Scheidungsfall). Änderung (BRG 24.094)
Dossier: Lage der Bäuerinnen verbessern

Afin de permettre la mise en place des initiatives parlementaires 22.407 et 22.417, deux projets distincts traités conjointement ont été élaborés. Dans l'ensemble, la CTT-CN s'aligne sur la proposition du Conseil des Etats. Elle propose toutefois de ne pas prévoir de renchérissement de la redevance.

Le premier volet traite de l'aide générale accordée aux médias. La commission s'aligne sur la proposition du Conseil des Etats de soutenir l'augmentation de cette aide. Plusieurs propositions de minorités ont toutefois été rejetées. L'ensemble a été approuvé par 18 voix contre 6.

Le deuxième volet, tiré de l'initiative Bauer, consiste à augmenter la quote-part de la redevance attribuée aux radios locales et aux télévisions régionales. La CTT-CN souhaite cette augmentation, mais s'oppose à ce qu'elle tienne compte du renchérissement. Elle craint que cette augmentation se fasse au détriment de la SSR. Cette condition avait été ajoutée par le Conseil des Etats. C'est pourquoi elle propose, par 14 voix contre 10, à son conseil de biffer la troisième phrase de l’art. 40, al. 2: «Il [le Conseil fédéral] fixe les quotes-parts attribuées aux concessionnaires de telle sorte que leur augmentation soit appropriée compte tenu du renchérissement et par rapport à la dernière période de concession». Une minorité s'y oppose. La commission souhaite, de plus, une modification du nombre maximum de concessions par entreprise. A l’avenir, les entreprises pourraient détenir plus de deux concessions de télévision et deux concessions de radio. Pour la minorité, ce changement mettrait en péril la diversité médiatique et engendrerait un risque de concentration de l’offre entre les mains des grands acteurs. L'ensemble du projet a été approuvé par 16 voix contre 6 et 2 abstentions.

Verteilung der Radio- und Fernsehabgabe (Pa.Iv. 22.407)
Dossier: Medienförderungspolitik nach dem Scheitern des Medienpakets

La CTT-CN s'est positionnée sur les deux volets établis pour mettre en œuvre l'initiative parlementaire Chassot (projet 1) et l'initiative parlementaire Bauer (projet 2).

Le premier projet traite de l'aide générale accordée aux médias. La commission s'est alignée sur la proposition du Conseil des Etats de soutenir l'augmentation de cette aide. Plusieurs propositions de minorités ont été rejetées par la majorité de la commission. L'une d'elles demandait de ne pas modifier la loi en vigueur pour des raisons budgétaires. Il a également été suggéré de supprimer l'aide financière apportée au Conseil suisse de la presse, qui permet l'autorégulation des médias. Enfin, une autre minorité souhaitait de nouvelles dépenses pour financer des institutions soutenant des projets journalistiques d’enquêtes et de reportages. Elle a été balayée par 15 voix contre 9 afin de ne pas «grever davantage le budget».
Finalement, la voix prépondérante du président a tranché pour que la part des coûts imputables pour les mesures d'aide s’élève à 50 pour cent tout au plus. Une minorité proposait de suivre le Conseil des États, qui avait fixé cette part à 80 pour cent (art. 76c, al. 2). Le projet 1 a été adopté par 18 voix contre 6 dans son ensemble.

Le deuxième projet concerne l'augmentation des quotes-parts que les médias locaux et régionaux perçoivent sur la redevance radio-TV. La commission de la chambre basse soutient cette augmentation. Mais, par 14 voix contre 10, elle s'est opposée à ce que l'augmentation tienne compte du renchérissement, comme souhaité par le Conseil des Etats. La commission craint une pénalisation de la SSR. Sur l'ensemble, le deuxième projet a été accepté par 16 voix contre 6 et 2 abstentions.

Fördermassnahmen zugunsten der elektronischen Medien (Pa.Iv. 22.417)
Dossier: Medienförderungspolitik nach dem Scheitern des Medienpakets

Der Bundesrat veröffentlichte im August 2025 in Erfüllung eines Postulats der RK-SR (Po. 16.3632) einen Evaluationsbericht zu Electronic Monitoring im Rahmen des neuen Sanktionenrechts, welches seit 2018 in Kraft ist und von den Strafvollzugskonkordaten jeweils weiter ausgeführt wurde. Beim Electronic Monitoring (EM) wird dabei die Freiheit meistens mittels einer elektronischen Fussfessel eingeschränkt. Der vorliegende Bericht untersuchte dabei die kantonalen Praxiserfahrungen von EM als alternative Form des Strafvollzugs im Zeitraum von 2018 bis 2023. Im untersuchten Zeitraum wurde schweizweit im Schnitt 507-Mal jährlich der Einsatz von EM verfügt, was einem tiefen einstelligen Prozentsatz im Verhältnis zum gesamten Strafvollzug entspreche. Und obwohl EM auch am Ende des Vollzugs einer Freiheitsstrafe eingesetzt werden könnte, wurde laut Bericht in 90 Prozent der Fälle die elektronische Fussfessel als Alternative zum gesamten Strafvollzug verordnet.
Trotz ähnlicher Art des Vollzugs zeigten sich bei der Einsatzhäufigkeit des EM grosse kantonale Unterschiede. Insbesondere diejenigen Kantone, welche bei Modellversuchen von 1999 bis 2017 beteiligt waren (BE, BL, BS, GE, SO, TI und VD), hatten zusammen mit den Kantonen Aargau und Zürich am meisten Gebrauch von EM gemacht. Als Gründe für diese kantonalen Divergenzen stellte der Bundesrat im Bericht verschiedene Hypothesen auf, darunter die Wichtigkeit bereits vorhandener Erfahrungen durch die Teilnahme während der Pilotphase oder kantonal unterschiedliche Bedürfnisse zur Entlastung von Gefängnissen. Dennoch bestätigte eine Mehrheit von 19 Kantonen, dass die bestehenden Regelungen ausreichend seien und keine Ausweitung des Einsatzbereiches gewünscht werde. Als Konklusion der durchgeführten Analyse kam der Bundesrat daher zum Schluss, auf Bundesebene diesbezüglich keine weiteren Änderungen des Sanktionenrechts vorzusehen.

Evaluation des Electronic Monitoring (Po. 16.3632)

Ein gleichlautendes Postulat der PUK betreffend die Vermeidung von Interessenskonflikten bei der Revision von Banken wurde in der der Frühjahrssession 2025 auch vom Nationalrat stillschweigend überwiesen.

Interessenskonflikte bei der Revision von Banken vermindern (Po. 24.4533, Po. 24.4539)

Im November 2024 reichte der Grosse Rat des Kantons Genf eine Standesinitiative ein, in welcher er die Bundesversammlung dazu auffordert, sich für die Anerkennung des Staates Palästina durch die Schweiz einzusetzen. Ausserdem solle sich das Parlament dafür stark machen, dass ein anhaltender und gerechter Frieden im Nahost erreicht wird. Im Rahmen der Beratung der Initiative, welche von Sophie Bobillier (GE, gp) lanciert worden war, hatte die zuständige Kommission des Genfer Grossen Rates unter anderem Jean-Daniel Ruch, der als Botschafter in Israel tätig war, sowie die ehemalige Bundesrätin Micheline Calmy-Rey angehört.
Das Genfer Parlament berief sich in seiner Begründung der Standesinitiative unter anderem auf Genf als «Friedenshauptstadt» sowie als Hüterin der Genfer Konventionen betreffend das humanitäre Völkerrecht. Auch sehe die Bundesverfassung vor, dass die Schweiz zur Linderung von Not und für ein friedliches Zusammenleben der Völker beitrage.

Die APK-SR befasste sich im August 2025 mit dem Anliegen und gab der Initiative mit 9 zu 1 Stimmen bei 2 Enthaltungen keine Folge. Die Mehrheit der Kommission vertrat die Ansicht, dass die Initiative kein passendes Instrument sei, da die Kompetenz für die Anerkennung von Staaten beim Bundesrat liege. Eine Minderheit der APK-SR plädierte dafür, der Initiative Folge zu geben, um die «aktuelle Dynamik» zu unterstützen, in welcher sich in den vergangenen Tagen und Wochen einige Staaten für die Anerkennung Palästinas ausgesprochen hatten.

Für eine Anerkennung des Staates Palästina durch die Schweiz (Kt. Iv. 24.328)
Dossier: Reaktionen der Schweiz auf den Nahost-Konflikt seit 2023

Eine im November 2024 eingereichte Standesinitiative des Kantons Genf befasste sich mit den politischen Gefangenen in Aserbaidschan. Im Initiativtext wurde dargelegt, dass im Zuge der Annexion der mehrheitlich von Armenierinnen und Armeniern bewohnten Region Bergkarabach durch Aserbaidschan im Jahr 2023 Dutzende zu Kriegsgefangenen gemacht worden seien. Die Schweiz solle insbesondere im Rahmen der UNO-Klimakonferenz, die noch im selben Monat in Baku stattfand, darauf hinarbeiten, dass diese Kriegsgefangenen, welche nach der Angliederung Bergkarabachs nunmehr politische Gefangene seien, unverzüglich freigelassen werden. Die APK-SR diskutierte die Initiative im August 2025 und kam einstimmig zum Schluss, der Standesinitiative keine Folge zu geben. Zum einen sei die Initiative nicht das richtige Mittel, um diese Thematik anzugehen, und es sei auch nicht die Aufgabe des Parlaments, Forderungen an einen anderen Staat zu stellen. Zum anderen sei die Standesinitiative zu einseitig zu Lasten Aserbaidschans formuliert.

Annexion von Bergkarabach. Freilassung der politischen Gefangenen in Aserbaidschan (Kt. Iv. 24.321)

Après s'être montrée réticente à proposer un contre-projet à l'initiative «200 francs, ça suffit!» (25.400 et 25.433), la CTT-CE s'est prononcée sur l'initiative populaire en elle-même. Elle a argué que les mesures prises par le Conseil fédéral concernant la redevance répondent à l'initiative. En soi, ces mesures représenteront déjà un défi pour garantir la diversité médiatique dans toutes les régions de Suisse. Considérant la qualité et la variété de l'information comme importantes, la délégation de sénateurs et sénatrices a recommandé le rejet de l'initiative populaire à ses collègues de la chambre haute, par 12 voix contre 1.

Eidgenössische Volksinitiative «200 Franken sind genug! (SRG-Initiative)»
Dossier: Die geräteunabhängige Radio- und Fernsehabgabe für Unternehmen in der Kritik

Die UREK-SR behandelte die parlamentarische Initiative Pfister (mitte, ZG) für ein auf Lenkungsabgaben basierendes CO2-Gesetz im Juli 2025 zum zweiten Mal. Auch in diesem Rahmen gab die ständerätliche Kommission dem Geschäft keine Folge. Stattdessen reichte sie ein Postulat (25.3951) ein, mit welchem sie die vier Forderungen Pfisters in einen Prüfauftrag umwandelte.

Ein neues schlankes und wirksames CO2-Gesetz (Pa.Iv. 22.451)

Pascal Schmid (svp, TG) forderte mit einer im Juni 2024 eingereichten parlamentarischen Initiative, dass die Urteile des EGMR nicht mehr automatisch von der Schweiz umgesetzt werden. Mit einer Anpassung des BGG solle sichergestellt werden, dass das Schweizer Parlament über die Umsetzung eines EGMR-Urteils entscheiden müsse. Schmid kritisierte, dass der EGMR in den letzten Jahren durch «überbordende[n] Aktivismus» aufgefallen sei und erwähnte dabei das Urteil zu den Klimaseniorinnen sowie die Rüge betreffend die Witwerrente. Das in einem Zusatzprotokoll der EMRK festgehaltene Subsidiaritätsprinzip, wonach die Vertragsstaaten für die Einhaltung der Rechte und Freiheiten der EMRK verantwortlich sind, werde zunehmend ignoriert. Dieser Entwicklung müsse ein Riegel vorgeschoben werden. Die RK-NR befasste sich im Juli 2025 mit der Initiative und gab ihr mit 16 zu 8 Stimmen keine Folge, wobei sie ihrer Medienmitteilung keine Gründe für diesen Entscheid anfügte. Eine Minderheit der Kommission beantragte, der Initiative Folge zu geben.

Keine automatische Umsetzung von Urteilen des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte (Pa. Iv. 24.429)
Dossier: Urteil des EGMR zu den Klimaseniorinnen

Mittels einer im September 2024 eingereichten parlamentarischen Initiative verlangte Benjamin Fischer (svp, ZH) eine Änderung der StPO, womit die Polizei bei der Orientierung der Bevölkerung neu das Alter, das Geschlecht und die Staatsangehörigkeit der Täterinnen und Täter, Tatverdächtigen und Opfern von Straftaten bekannt geben soll. Dies aber nur, sofern der Persönlichkeitsschutz davon nicht tangiert wird. Wie Fischer in der Begründung ausführte, würden dies bereits diverse Kantone so handhaben und es bestehe ein entsprechendes öffentliches Interesse an der Bekanntgabe dieser Informationen. Nun soll daher eine kohärente Regelung auf Bundesebene geschaffen werden. Die zuständige RK-NR gab der Initiative im Juli 2025 mit 15 zu 9 Stimmen keine Folge. Eine Mehrheit wies daraufhin, dass das sozioökonomische Profil und nicht die Staatsangehörigkeit ausschlaggebend für die Straffälligkeit einer Person sei und eine Nennung der Personendaten zu einer politischen Instrumentalisierung und zu Datenmissbrauch führen könne. Die Minderheit vertrat hingegen die Position, dass mit einer proaktiven Information das Vertrauen der Bevölkerung in die Behörden gefestigt würde.

Nennung von Alter, Geschlecht und Staatsangehörigkeit bei Polizeimeldungen (Pa. Iv. 24.463)

A la suite de l'entrée en matière du Conseil des Etats sur le projet de révision de la LRTV, demandée par les initiatives Bauer (plr, NE) et Chassot (centre, FR), la CTT-CN s'est penchée sur la question. Elle a souligné l'importance de soutenir les médias régionaux ainsi que d'augmenter la quote-part qu'elles reçoivent. La commission a donc décidé, par 16 voix contre 8 et 1 abstention, de recommander l'entrée en matière à son conseil. Elle a toutefois critiqué la décision de faire d'une pierre deux coups en fusionnant les deux objets et a souhaité, par 21 voix contre 4, que les deux initiatives soient traitées séparément. Ceci permettrait de répondre de manière ciblée aux requêtes des deux initiatives parlementaires.

Verteilung der Radio- und Fernsehabgabe (Pa.Iv. 22.407)
Dossier: Medienförderungspolitik nach dem Scheitern des Medienpakets

La CTT-CN propose à son Conseil d'entrer en matière sur le projet de révision de la LRTV par 16 voix contre 8 et 1 abstention. En effet, les radios et télévisions régionales ont besoin d'un soutien accru pour garantir la diversité de l'offre. Selon elle, l'augmentation de la quote-part y contribue. La commission a toutefois été sceptique sur l'approche qui fusionne les deux initiatives parlementaires en un projet législatif. La CTT-CN s'est accordée par 21 voix contre 4 pour demander que les objets 22.407 et 22.417 soient traités séparément. La commission a argumenté que les demandes des deux objets parlementaires seraient mieux respectées si elle procédait ainsi.

Fördermassnahmen zugunsten der elektronischen Medien (Pa.Iv. 22.417)
Dossier: Medienförderungspolitik nach dem Scheitern des Medienpakets

La CTT-CN s'est accordée par 12 voix contre 2 et 4 abstentions pour valider la modification de la LRTV. La concession fixe de ce fait le cadre pour qu'une concurrence loyale régisse le marché. Le Conseil fédéral doit se positionner sur l'objet avant que la chambre basse ne puisse en débattre, normalement lors de la session d'hiver 2025.

Faire Teilnahme der SRG am audiovisuellen Produktionsmarkt (Pa. Iv. 22.415)

Lors de la session d'été 2025, le Conseil des Etats a accepté l'accord multilatéral pour l'échange automatique de renseignements (EAR) sur les crypto-actifs et sa transposition au niveau national.
Le Conseil national doit encore se prononcer pour une entrée en vigueur début 2026. Parallèlement, le Conseil fédéral a publié son message détaillant les Etats partenaires avec lesquels l'EAR crypto-actifs pourrait être mis en œuvre dès sa prise d'effet. L'exécutif propose l'introduction de l'échange automatique de renseignements sur les crypto-actifs avec tous les Etats partenaires remplissant les conditions du Forum mondial sur la transparence et l'échange de renseignements à des fins fiscales, et qui mettront également l'accord en œuvre. Actuellement, 74 Etats sont concernés.

Einführung des automatischen Informationsaustauschs über Kryptowerte mit den relevanten Partnerstaaten ab 2026. Genehmigung der Bundesbeschlüsse (BRG 25.052)
Dossier: Informationsaustausch - Steueramtshilfeverordnung (AIA)

En juin 2024, le sénateur Pirmin Schwander (udc, SZ) a déposé une initiative parlementaire visant à clarifier une insécurité juridique concernant la vérification des comptes intermédiaires des PME. Actuellement, selon le CO, le conseil d'administration d'une société anonyme doit établir des comptes intermédiaires et les faire vérifier par l'organe de révision, en cas de risque sérieux de surendettement. Toutefois, il n'est pas précisé si un organe de révision soumis au contrôle restreint est habilité à vérifier ces comptes s'il a également participé à la comptabilité de l'entreprise. Après avoir consulté un avis de droit, l'auteur de l'initiative a proposé de modifier l’article 725b, alinéa 2 du CO afin d’autoriser explicitement ce cumul de fonctions, sous réserve de conditions. Il a motivé sa demande par la rareté des réviseurs disponibles et la nécessité pour les PME d'économiser leurs ressources.
Lors de sa séance, la Commission des affaires juridiques du Conseil des Etats (CAJ-CE) a décidé, par 11 voix et une abstention, de donner suite à l'initiative parlementaire Schwander afin de clarifier cette question d'interprétation dans la loi. La commission a cependant rapporté qu'elle était ouverte à la manière dont la question serait tranchée.

Rechtssicherheit schaffen. KMU-praktikable Lösung realisieren und Dienstleistungen aus einer Hand ermöglichen (Pa. lv. 24.434)

Im Mai 2024 reichte der St. Galler Kantonsrat eine Standesinitiative zur Entlastung der Gerichte ein. Konkret forderte die St. Galler Legislative eine Anpassung der StPO, um den erst- und zweitinstanzlichen Gerichten in Zukunft den Verzicht auf die schriftliche Urteilsverkündung zugunsten einer mündlichen Urteilsverkündung unabhängig der ausgesprochenen Sanktion zu ermöglichen. Auf die schriftliche Begründung eines Urteils soll jedoch nur verzichtet werden können, wenn die beteiligten Parteien damit einverstanden sind.

Die zuständige RK-SR gab der Initiative im Juni 2025 einstimmig Folge. Obwohl sie die vorgeschlagene Umsetzung nicht in jedem Detail unterstütze, gebe es im Bereich der Belastung der Gerichte Handlungsbedarf, so die Kommission ihrer Medienmitteilung.

Verzicht auf die schriftliche Begründung von Urteilen ermöglichen (Ka. Iv. 24.314))

Ende Juni 2025 präsentierte der Bundesrat die Botschaft zum Freihandelsabkommen zwischen den EFTA-Staaten und Thailand. Mit dem Abkommen sollen für 99.7 Prozent aller Schweizer Exporte nach Thailand Zollerleichterungen in Kraft treten. Auch die nichttarifären Handelshemmnisse würden mit dem FHA reduziert. Weiter sollen beim Handel mit Dienstleistungen der Geltungsbereich, die Begriffsdefinitionen sowie die relevantesten Verpflichtungen aus dem GATS gelten. Das Abkommen soll auch die Rechtssicherheit bei gegenseitigen Investitionen erhöhen. In Bezug auf das geistige Eigentum stütze sich das FHA auf die Regeln des TRIPS-Abkommens und gehe teilweise darüber hinaus. Ausserdem enthalte das Abkommen auch Bestimmungen zum öffentlichen Beschaffungswesen sowie zum diesbezüglichen gegenseitigen Marktzugang. Die EFTA-Staaten würden mit diesem Abkommen im Übrigen zur ersten Partnerin, mit welcher Thailand ein ausführliches Kapitel zu Handel und nachhaltiger Entwicklung ausgearbeitet habe. Wie bereits im Abkommen mit Chile wurde auch in diesem FHA der Zugang der KMU zu wichtigen Informationen in Bezug auf die Umsetzung des Abkommens erleichtert. Für die Umsetzung und Weiterentwicklung des Abkommens soll ein gemischter Ausschuss zuständig sein. Bei Streitigkeiten ist ein bindendes Schiedsverfahren vorgesehen.

Freihandelsabkommen zwischen den EFTA-Staaten und Thailand. Genehmigung (BRG 25.066)
Dossier: Freihandelsabkommen

Lors de sa séance des 23 et 24 juin 2025, la Commission de la politique de sécurité du Conseil national (CPS-CN) a recommandé par 16 voix contre 9 à son conseil de ne pas donner suite à l'initiative du canton de Vaud. En effet, pour la majorité de la CPS-CN, cet objet mettrait en cause la nature même du service civil, puisque l'intérêt de ce type d'engagement réside avant tout dans le fait qu'il sert de service de remplacement aux personnes qui ne peuvent pas effectuer leur service militaire en raison d'un conflit de conscience.

Freiwilliger Zivildienst für Frauen (Kt.Iv. 13.308)
Dossier: Bundesgesetz über den zivilen Ersatzdienst

Hasan Candan (sp, LU) forderte mit einer im Juni 2024 eingereichten parlamentarischen Initiative einen besseren Schutz für Wildtiere, die sich am Waldrand aufhalten. Mittels Anpassungen des WaG sowie des NHG und den dazugehörigen Verordnungen solle erreicht werden, dass der Einsatz von Mährobotern sowie weiterer Schnittgeräte am Waldrand nicht mehr dazu führe, dass sich Tiere dadurch schwer verletzen oder sogar getötet werden. Candan führte aus, dass der Einsatz autonomer Mähroboter in letzter Zeit stark angestiegen sei und diese insbesondere für dämmerungs- und nachtaktive Tiere gefährlich seien.
Die UREK-NR gab der Initiative im Juni 2025 mit 17 zu 8 Stimmen keine Folge. Sie argumentierte mehrheitlich, dass dieses Problem durch Empfehlungen gelöst werden könne. Die Minderheit der UREK-NR sah jedoch Handlungsbedarf im Sinne der Anpassung der rechtlichen Grundlagen und wollte der Initiative entsprechend Folge geben.

Der Waldrand ist ein wichtiger und wertvoller Lebensraum für Wildtiere. Mähroboter stellen eine Gefahr dar! (Pa.Iv. 24.440)

Afin de répondre aux exigences de la Confédération (dites exigences prudentielles) pour renforcer la stabilité de la place financière, les banques d'importance systémique disposent notamment d'instruments spécifiques prévus par le régime «too-big-to-fail» (TBTF), appelés instruments TBTF (coco bonds, write-off bonds, bail-in bonds). Il s'agit d'emprunts émis par les banques actives en Suisse sous forme d'obligations, qui peuvent être convertis en fonds propres en cas de risque d'insolvabilité. Depuis 2013 et une modification de la Loi sur l'impôt anticipé (LIA), les instruments TBTF sont exonérés de l'impôt anticipé. Ce dernier rendrait ces instruments peu attractifs aux yeux des investisseurs étrangers, qui n'acceptent pas la retenue de l'impôt anticipé, bien qu'ils aient droit au remboursement de celui-ci. Ils se tourneraient donc vers d'autres marchés, compliquant la tâche des banques pour se procurer des fonds.
L'exonération, prorogée en 2017 puis en 2022, arrive à échéance fin 2026. Dans son message, le Conseil fédéral propose donc de renouveler l'exonération jusqu'en 2031, sans changement sur le fond. Entre-temps, le Parlement aura le temps de traiter du train de mesures légales prévu suite au rapport sur la stabilité des banques, dans lequel le Conseil fédéral préconise une prolongation de durée indéterminée de l'exonération. Ainsi, les banques pourraient continuer de répondre aux exigences prudentielles dans des conditions compétitives.
Lors de la consultation, seul le PS s'est opposé à la prorogation de l'exonération, jugeant que le Parlement aura le temps de traiter le train de mesures en 2026 pour une entrée en vigueur début 2027. Selon le Conseil fédéral, rien n'est moins sûr, raison pour laquelle la prorogation est nécessaire afin d'éviter une lacune.
Si l'exonération a été renouvelée de manière temporaire jusqu'à aujourd'hui, c'est qu'elle aurait dû être intégrée à la réforme complète de la Loi fédérale sur l'impôt anticipé, finalement coulée par le peuple en septembre 2022.

Bundesgesetz über die Verrechnungssteuer (Too-big-to-fail-Instrumente). Änderung (BRG 25.060)

Im Juni 2025 publizierte der Bundesrat die Botschaft zu den Massnahmen zur Stärkung der Schweiz als Gaststaat 2026–2029. Diese Botschaft enthielt allen voran die finanziellen Mittel, um die Position der Schweiz als Gaststaat von internationalen Organisationen sowie als massgeblichen Standort für globale Gouvernanz zu gewährleisten. Mit dem vorgesehenen Budget solle das multilaterale System sowie die auf dem Völkerrecht beruhende Ordnung gestärkt werden. Ausserdem erhoffte sich der Bundesrat durch die gestärkte Präsenz internationaler Akteure auch positive wirtschaftliche Auswirkungen, insbesondere für den Kanton Genf. In der Botschaft waren vier Handlungsfelder aufgeführt: «Ansiedlung, Infrastruktur (insbesondere Immobilien), Partnerschaften und Gouvernanz der neuen Technologien.» Die in der Botschaft beantragten Mittel umfassten CHF 130 Mio., wovon ein Verpflichtungskredit (CHF 7.8 Mio.) für Massnahmen zum Schutz der Gebäude von internationalen Organisationen sowie ein auf das Jahr 2026 begrenzter Betrag von CHF 21.5 Mio. für dringliche Massnahmen zur Stärkung der Attraktivität der Schweiz als Sitz internationaler Organisationen vorgesehen waren. Des Weiteren beantragte der Bundesrat mit der Botschaft auch ein zinsloses Darlehen in der Höhe von CHF 78 Mio. zugunsten der FIPOI. Wie der Bundesrat erläuterte, hätten aufgrund Kürzungen oder Zahlungseinstellungen von einigen Mitgliedstaaten, allen voran den USA, viele internationale Organisationen ihre Budgets kürzen und Personal abbauen müssen. Zudem habe sich auch der Wettbewerb um die Ansiedlung dieser Organisationen verschärft. In dieser Situation müsse die Schweiz handeln, um den Standort «Schweiz» zu sichern und den multilateralen Organisationen möglichst gute Rahmenbedingungen zu bieten.
Nicht zuletzt beantragte der Bundesrat mit der Botschaft auch die Abschreibung des Postulats Walder (gp, GE; Po. 21.3791 ) mit dem Titel «Covid-19. Auswirkungen auf die Vitalität des Netzwerks der internationalen Organisationen in der Schweiz und auf die Schweizer Gaststaatpolitik?».

Botschaft zu den Massnahmen zur Stärkung der Rolle der Schweiz als Gaststaat 2026–2029 (BRG 25.061)
Dossier: Internationales Genf

Après plus de deux ans de négociations et plusieurs centaines de prises de parole (dont 351 seulement pour 2024), la révision totale de la Loi sur les douanes (LD) a été soumise au vote final de l'assemblée fédérale. Trois votes séparés ont eu lieu. Premièrement, les deux chambres ont dû accepter la Loi fédérale sur la partie générale relative à la perception des redevances et sur le contrôle de la circulation transfrontalière des marchandises et des personnes par l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (LE-OFDF). Cette dernière a été adoptée par 131 voix contre 66 à la chambre basse et 35 voix contre 8 à la chambre haute. Le deuxième vote concernait la Loi fédérale sur l'assujettissement aux droits de douane et la détermination des droits de douane (LDD). Au Conseil national, la loi a été adoptée par 131 voix contre 65 et 1 abstention, tandis qu'au Conseil des Etats, elle a été adoptée par 34 voix contre 9. Lors de ces deux premières votations, le groupe socialiste et le groupe des Vert-e-s ont voté en bloc contre. Finalement, l'Arrêté fédéral portant approbation et mise en œuvre des accords bilatéraux d'association à l'Espace Schengen et à l'Espace Dublin a été accepté à l'unanimité dans les deux conseils.

Zollgesetz. Totalrevision (BRG 22.058)
Dossier: Totalrevision des Zollgesetzes (BRG 22.058; Umsetzung div. Motionen)
Dossier: Forderungen nach einer Aufstockung des Grenzwachtkorps und Transformation der EZV (2016–)
Dossier: Modernisierung und Digitalisierung der Eidgenössischen Zollverwaltung (DaziT)

Le conseiller national genevois Roger Golay (mcg) a déposé en mars 2025 un postulat demandant au Conseil fédéral de rédiger un rapport permettant au Parlement d'élaborer une politique d'acquisition d'armement qui privilégie le matériel produit en Suisse, puis dans les voisins directs de la Suisse. L'auteur du postulat estime en effet qu'à un moment où les Etats-Unis sont moins engagés dans la défense de l'Europe, celle-ci a intérêt à renforcer ses capacités militaires. Puisque la Suisse se situe au cœur de l'Europe, elle devrait développer de nouvelles coopérations avec ses voisins en matière d'acquisition d'armement. Le Conseil fédéral a appelé le Parlement à adopter ce postulat, affirmant qu'il a déjà demandé au DDPS de rédiger un rapport sur la politique d'armement de la Suisse, qui tiendra compte des demandes du postulat.
Alors qu'il devait être examiné par le Parlement lors de la session d'été 2025, le postulat été retiré.

Wehrmaterial. Die Schweiz soll europäisches Material beschaffen und so ihren Teil zur europäischen Sicherheit beitragen, die massgeblich ihren Interessen dient (Po. 25.3050)

Lors du vote final au Conseil national, l'initiative service citoyen a été rejetée par 173 voix contre 18 et 6 abstentions. La minorité était principalement composée des Vert'libéraux. Au Conseil des Etats, l'initiative a été rejetée par 34 voix contre 8 et 1 abstention.

«Für eine engagierte Schweiz (Service-citoyen-Initiative)». Volksinitiative (BRG 24.079)
Dossier: Weiterentwicklung der Dienstpflicht